In space

The Jellyfish nebula



Asteroïd 149 méduse




Earth magnetic field












Un extrait vidéo du film "From undersea to outer space":
Undersea to Outer Space - YouTube



These images, taken by the High Resolution Stereo Camera (HRSC) on board ESA's Mars Express spacecraft, show Nicholson Crater, located at the southern edge of Amazonis Planitia on Mars.
The HRSC obtained these images during orbit 1104 with a ground resolution of approximately 15.3 metres per pixel. The scenes show the region around Nicholson Crater, at approximately 0.0° South and 195.5° East.
Nicholson Crater, measuring approximately 100 kilometres wide, is located at the southern edge of Amazonis Planitia, north-west of a region called Medusae Fossae.
Located in the centre of this crater is a raised feature, about 55 kilometres long and 37 kilometres wide, which extends to a maximum height of roughly 3.5 kilometres above the floor of the crater.

This perspective view shows the central part of Nicholson Crater, at approximately 0.0° South and 195.5° East, looking west. Nicholson Crater, measuring approximately 100 kilometres wide, is located at the southern edge of Amazonis Planitia, north-west of a region called Medusae Fossae.
At present, it is still unclear how this central feature was shaped and what kind of processes led to its formation. It is thought that the remnant hill could be composed of material from underground or was built as a result of atmospheric deposition.
The tall feature in the centre of this hill is the central peak of the crater, which forms when the surface material ‘rebounds' after being compressed during the formation of an impact crater.




This MOLA map shows where Nicholson Crater is located, at approximately 0.0° South and 195.5° East, at the southern edge of Amazonis Planitia, north-west of a region called Medusae Fossae. However, it is clear that this feature has been heavily sculpted after its creation, by the action of wind or even water.





Persée est une constellation de l’hémisphère nord. Relativement grande, elle possède plusieurs étoiles brillantes, dont l’étoile variable Algol (β Persei).La constellation de Persée est ancienne. Déjà répertoriée par Aratus de Soles, puis par Ptolémée dans son Almageste auier siècle, elle est censée représenter Persée, le héros de la Mythologie grecque qui sauva Andromède. La constellation appartient au cycle qui décrit le mythe d'Andromède.

Persée est une constellation très lumineuse, placée dans un environnement très riche.
Sa position peut être repérée en prenant l'alignement qui part du Grand carré de Pégase et remonte le long de la diagonale d'Andromède jusqu'à Algol de Persée et Capella du Cocher.
Inversement, on peut partir de Capella, l'étoile la plus brillante de la région, et repérer ses voisines Algol (β Per) etMirfak (α Per) en direction de l'Ouest.
On peut également se repérer par rapport à Cassiopée, en suivant l'alignement de la barre médiane de son « W » en direction du Sud-Est, alignement qui tombe sur Mirfak (α Per).
On peut enfin remonter l'alignement qui part de Rigel dans Orion, passe par Aldébaran du Taureau, et tombe sur Algol(β Per) avant de rejoindre Cassiopée dans l'axe du bras droit de son « W ». de tepu.

Bien que formée d'étoiles relativement brillantes et assez rapprochées, Persée ne dégage pas de forme très nette. Quand les conditions de visibilité sont bonnes, on peut retracer la forme générale d'une étoile à cinq branches (le corps), dont quatre sont dotées d'appendices (les membres).

Les deux premières étoiles visibles sont Mirfak (α Per), qui marque le cou de Persée, et Algol (β Per), plus au Sud, qui marque le pied Ouest. On voit rapidement apparaître ensuite ε Per au Sud (le pied Est) et γ Per côté Nord (la pointe du chapeau).

L'étoile brillante située au milieu du bras Ouest, θ Persei, est parfois considérée comme constituant l’épée de Persée. La limite des constellations entre Persée et andromède est très dentelée dans cette zone, la « main » de Persée qui semble presque saisir le « pied » d'Andromède s'étend au-delà d'une zone qui appartient déjà à cette dernière.

Persée est généralement dessiné tenant dans sa main la tête de Méduse et celle-ci est représentée par Gorgonea Secunda (π Per), Gorgonea Tertia (ρ Per) et Gorgonea Quarta(ω Per), Algol (β Per) — « Gorgonea Prima » — formant quant à elle l’œil de la gorgone. Ces quatre étoiles sont celles qui forment le "pied" immédiatement au sud d'Algol.

Mirphak (α Persei) est l’étoile la plus brillante de la constellation. Avec une magnitude apparente de 1,79, elle se classe 35e desétoiles les plus brillantes du ciel. Distante de près de 600 années-lumière du Système solaire, c'est une supergéante 60 fois plus grande que le Soleil. Elle est parfois nommée « Algenib ».Algol (β Persei) est la deuxième étoile de la constellation par la luminosité, mais la plus connue. Elle est le prototype des étoiles variables de type Algol, qui sont en réalité des étoiles doubles où l’un des composants éclipse périodiquement le plus brillant. Algol passe ainsi de la magnitude 2,12 à la magnitude 3,39 tous les 2,867 jours. Une dernière étoile de la constellation porte un nom propre : Misam (κ Persei). En 1901, la nova GK Persei est apparue plusieurs degrés en dessous de Mirphak. Près de γ Persei se trouve le radiant des « Perséides », un essaim de météoroïdes qui provoque chaque année une « pluie » d’étoiles filante aux alentours du 12 août (appelées aussi Larmes de Saint Laurent, dont la fête tombe le 10 août). On peut noter également les objets célestes suivant dans la constellation de Persée, traversée par la Voie lactée :
h+χ Persei : Deux amas ouverts (NGC 869 et NGC 884 respectivement), distants de plus 7 000 années-lumière du système solaire et séparés l’un et l’autre par plusieurs centaines d’années-lumière.
M34 : un amas ouvert de magnitude apparente 5,5 (visible à l’œil nu si la nuit est très sombre), distant d’environ 1 400 années-lumière et formé d’une centaine d’étoiles distribuées dans une sphère de 14 années-lumière de diamètre.
M76 : une nébuleuse planétaire.
NGC 1499 : une nébuleuse en émission surnommée « Nébuleuse Californie ».
Amas de Persée



 Une des nébuleuses les plus faciles à reconnaître dans le ciel, la Nébuleuse de la Tête de Cheval dans Orion, fait partie d'un vaste et sombre nuage moléculaire. Connue aussi sous le nom de Barnard 33, sa forme inhabituelle a été découverte en premier sur une plaque photographique à la fin du XIXème siècle. Le rouge provient de l'hydrogène (présent majoritairement derrière la nébuleuse) ionisé par la brillante étoile proche Sigma Orionis. L'obscurité de la Tête de Cheval est provoquée surtout par une épaisse poussière, bien que la partie basse du cou de la Tête de Chevalprojète une ombre sur la gauche. Des jets de gaz quittant la nébuleuse sont guidés par un fort champ magnétique. Les points brillants de la base de la Nébuleuse de la Tête de Cheval sont de jeunes étoiles en plein processus de formation. La lumière met environ 1500 ans pour nous parvenir de la Nébuleuse de la Tête de Cheval. 
Pour certains, il ressemble à quelque gigantesque et monstrueuse créature spatiale, mais il est en réalité beaucoup plus grand que le plus grand des monstres. Pour d’autres, c’est plus prosaïquement un hippocampe. En réalité l’objet sombre sur la moitié droite de l’image est un pilier de poussière de quelque 20 années-lumière de long. Cette structure de poussière à la forme aussi étrange qu’évocatrice se trouve dans une galaxie voisine de la nôtre, le Grand Nuage de Magellan, dans une région de formation d’étoiles très proche de la vaste nébuleuse de la Tarentule. L’énergétique nébuleuse engendre un amas d’étoiles appelé NGC 2074, dont le centre se trouve hors du champ de cette image, dans le prolongement du col de l’Hippocampe. Cette image en couleurs représentatives a été prise l’an dernier par la caméra WFPC2 du télescope spatial Hubble à l’occasion de la 100 000e orbite d’Hubble autour de la terre. Tandis que de jeunes étoiles se forment dans l’amas, leur rayonnement et leurs vents éroderont patiemment les piliers de poussière en l’espace de quelques millions d’années.
En astronomie, le double amas de Persée (ou simplement double amas) est le nom commun d'un ensemble d'amas ouverts visibles à l'œil nu, NGC 884 et NGC 869.
Leur proximité apparente n'est pas totalement fortuite. Âgés respectivement de 6 et de 12 millions d'années, ils sont nés du même nuage interstellaire. Le premier contient beaucoup de jeunes étoiles de type spectral B, autrement dit des géantes, alors que le second est fait essentiellement d'étoiles B blanches ou d'étoiles M rouges en phase de supergéantes. Compte tenu de leurs dimensions (autour de 1000 années-lumière chacun), environ 2000 années-lumière séparent réellement ces amas.
La lumière que nous recevons d'eux est décalée vers le bleu. NGC 869 se rapproche en effet de la Terre à la vitesse de 22 km/s alors que NGC 884 s'en approche à 21 km/s.


Octobre 2007, la comète Holmes.
Si au départ elle pouvait être confondue avec une étoile à cause de son éclat, ce n’est plus le cas. Elle est désormais moins brillante, apparaît beaucoup plus diffuse mais plus étendue. Une tache blanche bien ronde non loin de Mirfak, la principale étoile de la constellation de Persée.
Au télescope cependant, sur un côté la chevelure semble comme estompée. Il s’agit d’un fragment de la queue de la comète que l’on commence enfin à distinguer. Cet appendice, si caractéristique de ces astres, restait jusqu’alors invisible à cause de la position de la comète qui se présentait de face par rapport à la Terre.
Dans les grands télescopes, le spectacle est saisissant comme le montrent les photos. L’aspect de la comète Holmes évoquant celui d’une méduse céleste. Une méduse, même sans majuscule, dans la constellation de Persée, voilà une comète qui se montre au bon endroit.

La comète 17P/Holmes, découverte en 1892, est une comète périodique, elle accompli des orbites régulièrement autour du soleil, elle a donc été observée plusieurs fois, mais pour cela il fallait d’habitude de puissants télescopes. Or, depuis le 24 octobre, elle est devenue subitement brillante, au point d’être parfaitement visible à l’œil nu. Ce sursaut de luminosité est peut être dû à une fragmentation du noyau.
Holmes est visible dans la constellation de Persée, assez haute dans le ciel, vers le nord-est, dès la tombée de la nuit, et observable jusqu’au petit matin.
A l’œil nu son aspect est tout à fait semblable à celui d’une étoile. Mais si on l’observe attentivement, on remarquera qu’elle ne scintille pas. Aucune queue n’est visible.
Aux jumelles il est impossible de la confondre avec une étoile. La chevelure ronde apparaît entourant un noyau brillant.
Au télescope, le spectacle est superbe. La chevelure est très étendue et parfaitement ronde, le noyau présente un point particulièrement brillant. En revanche, il n’y a toujours pas de queue visible.






Va voir, enfant, au tournant de la rue, comme les filles de Halley, les belles visiteuses célestes en habit de Vestales, engagées dans la nuit à l’hameçon de verre, sont promptes à se reprendre au tournant de l’ellipse.
Saint-John Perse