Pétrifications










Fossil of elusive jellyfish more than 500 million years old
Using recently discovered fossil snapshots found in rocks more than 500 million years old, three University of Kansas scientists have described the oldest definitive jellyfish ever found. 
In a paper would be published in PLoS ONE on October 31, the scientists describe four types of cnidarian fossils preserving traits that allow them to be correlation to modern orders and families of jellyfish. The specimens are about 200 million years older than the oldest previously discovered jellyfish fossils. 
The fossil record is full of circular shaped blobs, some of which are jellyfish, said Paulyn Cartwright, KU assistant professor of ecology and evolutionary biology and one of the articles authors. Thats one of the reasons the fossils we describe are so interesting, because you can see a distinct bell-shape, tentacles, muscle scars and possibly even the gonads. 
The jellyfish left behind a film in fine sediment that resembles a picture of the animal. Most jellyfish do not leave such a clear impression behind because they are often preserved in coarse sand. 
Cartwright, Bruce Lieberman, KU professor of geology and senior curator of invertebrate paleontology at the KU Natural History Museum, and Jonathan Hendricks, postdoctoral researcher in geology at KU, collaborated on the article. Their research will be published October 31 in PLoS ONE, an online peer-evaluated journal by the Public Library of Science. Other scientists involved in the discoveries were Susan L. Halgedahl and Richard D. Jarrard, both of the University of Utah, Salt Lake City, Utah; Antonio C. Marques, University of San Paulo, San Paulo, Brazil; and Allen G. Collins, Smithsonian Institution, Washington, D.C. 
Lieberman said the jellyfish the group describes, found in Utah, offer insights into the puzzle of rapid species diversification and development that occurred during the Cambrian radiation, a time when most animal groups appear in the fossil record, beginning roughly 540 million years ago. The fossil record reveals much less about the origin and early evolution of animals such as jellyfish than it does about animals with hard shells or bones. 
The fossil record is biased against soft-bodied life forms such as jellyfish, because they leave little behind when they die, Lieberman said. That means that we are still working to solve the evolutionary development of a number of soft-bodied animals. 
With the discovery of the four different types of jellyfish in the Cambrian, however, the scientists said that there is enough detail to assert that the types can be correlation to the modern orders and families of jellyfish. The specimens show the same complexity. That means that either the complexity of modern jellyfish developed rapidly roughly 500 million years ago, or that the group is even older and existed long before then. 
Cartwright said the jellyfish described in the article are also unique because they push the known occurrence of definitive jellyfish back from 300 million to 505 million years, a huge jump, and show more detail than anything previously described that is younger. 















Pétra





Catalepsie : Suspension complète du mouvement volontaire des muscles qui s'observe dans le sommeil hypnotique, l'hystérie ou à la suite de la prise de neuroleptiques.



Selon Al Cheyne du département de Psychologie de l'Université de Waterloo au Canada, la science médicale attribue cette expérience bizarre à un problème connu sous le nom de paralysie du sommeil. D'après le Dr Cheyne, « La paralysie du sommeil, ou plutôt la paralysie du sommeil avec des hallucinations hypnagogiques et hypnopompiques, se singularise comme une source particulièrement plausible des croyances relatives non seulement à des enlèvements par des extraterrestres, mais aussi à toutes sortes de croyances en des réalités alternatives ou en des créatures d'autres mondes. La paralysie du sommeil est un état dans lequel une personne, le plus souvent couchée sur le dos, et sur le point de s'endormir ou de s'éveiller, réalise qu'elle est incapable de bouger, de parler ou de crier. Cela peut durer quelques secondes ou plusieurs minutes et même parfois assez longtemps. Les gens déclarent souvent avoir senti une « présence » généralement décrite comme malveillante, menaçante ou diabolique. Une intense sensation d'épouvante et de terreur est très fréquente. » Les recherches du Dr Cheyne montrent que jusque 40 % de la population a vécu une telle expérience au moins une fois. La paralysie est due à la libération d'hormones au cours du sommeil paradoxal qui paralysent le corps et l'empêchent d'agir en dehors du rêve. Normalement, les hormones se dissipent avant la fin du rêve et avant le réveil. Dans de rares cas, cependant, les hormones continuent à annihiler les fonctions motrices du corps lorsque le dormeur s'est réveillé, et celui-ci se retrouve paralysé. Le cerveau éveillé essaie de trouver une explication rationnelle à cette paralysie et invente donc l'entité ou la présence démoniaque. Dans des cas encore plus rares, le phénomène s'accompagne d'hallucinations parfois horribles, telles que des formes noires, des démons, des serpents, la vieille sorcière elle-même, et même des petits hommes verts.
Le Dr Cheyne cite une autre étude émettant l'hypothèse qu'un profond sentiment de paralysie pourrait être une forme humaine latente de l'« immobilité tonique », à savoir l'action de feindre la mort sur laquelle se reposent souvent les animaux de proie lorsqu'ils sont traqués, chassés, attrapés et attaqués ; soit une stratégie de survie induite par la peur ou par une importante entrave.


La catalepsie
C'est un phénomène moteur qui survient fréquemment pendant les transes hypnotiques. Il est surtout observé au niveau des extrémités, particulièrement au niveau des doigts Il se traduit par une tonicité involontaire des muscles, conférant aux membres une spasticité cireuse. La catalepsie peut être généralisée, mais reste le plus souvent limitée à une portion du corps. C'est un phénomène spectaculaire, qui étonne le patient lorsque celui-ci constate par exemple que son bras conserve la position que le thérapeute lui donne. Pour certains, la catalepsie est un signe d'hypnose légère, pour d'autres, sa survenue, spontanée ou suggérée, est un signe de transe moyenne. Deux formes particulières sont décrites: La catalepsie des paupières désigne pour le patient l'impossibilité d'ouvrir les yeux, et la catalepsie oculaire l'impossibilité de déplacer ses globes oculaires. Cette deuxième s'observe surtout avec les techniques d'induction utilisant une fixation du regard. Dans certaines échelles de profondeur de transe, on distingue deux niveaux de catalepsie: la catalepsie par relaxation , où le sujet ne peut plus déplacer ses membres ou la totalité de son corps, et la catalepsie par contracture , avec une hypertonie musculaire. Enfin pour être complet avec la sémiologie classique, la catalepsie générale se traduit par une spasticité généralisée du corps. Ce phénomène intéresse surtout les hypnotiseurs de spectacle. La catalepsie est parfois considérée comme un signe cardinal. Cette position a actuellement peu de représentants. L'état hypnotique comme état cataleptique signifie que c'est une situation de passivité globale , à la fois psychique et corporelle. Le sujet hypnotisé n'a plus aucune volonté, aucune initiative et devient le jouet de l'hypnotiseur. Au niveau somatique ( catalepsie corporelle ), cela se traduit par l'immobilité corporelle et le fait que les membres déplacés par l'expérimentateur conservent la position donnée. Au niveau psychologique ( catalepsie psychique ), les idées, les suggestions proposées par l'expérimentateur ne peuvent plus être critiquées et elles sont systématiquement adoptées par le sujet hypnotisé. 

Pour Baruk: 
la catalepsie: 
" ... représente une sidération, ou une inhibition de l'appareil psychomoteur volontaire, appareil en rapport avec le fonctionnement entier, non seulement du cortex mais de tout le cerveau" . 
" La catalepsie représente le sommeil de la volonté" . Baruk - L'hypnose . PUF, Paris, 1972
C'est avec une approche voisine que les élèves de Pavlov comprennent l'hypnose en la considérant comme une " inhibition corticale partielle" . C'est un état voisin du sommeil qui se déclenche dans certaines circonstances, un processus réflexe en réponse à des stimuli. Il y aurait une inhibition corticale d'origine sous-corticale . Ce phénomène existerait dans certaines pathologies, Comprise ainsi, l'hypnose est une sidération des fonctions psychiques supérieures, qui libère des processus réflexes. La principale fonction inhibée est la " volonté" , d'où la notion de suggestibilité censée être à l'origine de l'état hypnotique. 
Freud définissait l'état hypnotique comme : " une sorte de paralysie de la volonté et des mouvements, paralysie résultant de l'influence exercée par une personne toute puissante sur un sujet impuissant, sans défense, et cette particularité nous rapproche de l'hypnose que l'on peut provoquer chez certains animaux par la terreur." 
Freud 1921 - Psychologie Collective et Analyse du Moi . in: Essais de Psychanalyse. Payot, Paris, 1950 . 
L’expérience psychanalytique nous met en mémoire que c’est une angoisse infantile effroyable que celle d’endommager ou de perdre ses yeux. Beaucoup d’adultes sont restés sujets à cette angoisse et ils ne redoutent aucune lésion organique autant que celle de l’œil.
…La relation de substitution se manifeste, dans le rêve, le fantasme et le mythe, entre l’œil et le membre viril…
Sigmund Freud